Le début d’un poème d’écolier. Une information digne de legarofi. C’est tout d’abord ce que j’ai cru. Et puis non, l’info venait d’un site respectable. Alors je suis tout de suite allé googolisé la nouvelle pour la vérifier. Oui oui. C’était bien vrai.
Nul ne peut en aucun cas cautionner le harcèlement, l’agression dont a été victime cette femme. Et j’ai fait partis de ceux qui l’on défendu corps et âmes. Mais sa prestation en tant qu’actrice est un autre volet qu’il faut savoir dissocier. C’est ce que la profession du cinéma n’a pas sus faire.
Soyons sérieux, le procès de much loved s’ouvre à Marrakech la semaine prochaine, cette nomination n’est pas innocente. Le milieu du cinéma Français à voulu lancer un message, dans un contexte tendu vis-à-vis de toute ce qui concerne l’islamisme, les arabes et le Maghreb. Un pied de nez au gouvernement Islamiste Marocain qui a censuré ce film. Un message maladroit, car il décrédibilise une fois plus une cérémonie qui est loin de faire l’unanimité aussi bien auprès du grand public, que dans la profession.
Cependant, certains semblent convaincus que cette nomination est le couronnement d’une prestation d’actrice exceptionnelle. Chacun est libre de ces opinions. Mais personne n’est dupe.
Est-ce que l’on souhaite récompenser le courage d’Abidar, lui rendre justice d’une certaine manière pour ce qu’elle a subit ? Ou affirmer l’unanimité d’un réel talent pour sa prestation dans ce film ?
Abidar, victime et star.
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